Publication : LACAUNE-LES-BAINS

LACAUNE-LES-BAINS : cette appellation date de 1913. Elle marque l'apogée du thermalisme à Lacaune. Avant cette date, les vertus des eaux de Lacaune étaient connues depuis longtemps et avaient conduit à la construction d'un établissement thermal à la fin du XIX^e siècle. Cette période marque également l'arrivée du Petit Train, qui permit aux curistes de venir plus facilement. Mais la Première Guerre mondiale allait sonner le glas de cette activité. Finis les curistes argentés «prenant les eaux », se promenant en calèche ou à dos d'ânes, et s'adonnant aux joies du tennis et du casino.

Durant la période de l'entre-deux-guerres, la bourgade se reconvertit avec la création de préventoriums, accueillant les enfants anémiés en provenance des villes. Les «congés-payés» amènent à Lacaune des familles à la recherche de verdure, de repos et d'air pur. Les hôtels, pensions de familles et meublés se multiplient alors dans la cité.

Les progrès médicaux et alimentaires des années 1950 entraînent la transformation des préventoriums en aériums et colonies, accueillant les enfants durant les vacances scolaires. La vocation thermale de la ville est aujourd'hui perpétuée par la création de l'Espace des Sources Chaudes, de son centre de soin et de son camping. La qualité des eaux est reconnue par la commercialisation des Eaux de Mont Roucous. Certains hôtels restaurants offrent une gastronomie réputée. Les résidences secondaires ont remplacé les meublés.

Cet ouvrage présente un ensemble de documents et cartes postales anciennes et semi-modernes (issus de la collection de l'auteur), illustrant soixante années de thermalisme et tourisme à Lacaune.

Publication en vente au CRPR au prix de 18€ (frais de port 5.91€ en sus)

Publication : cahier n° 86

 

Dans ce Cahier de Janvier 2021, vous pourrez lire une trentaine d'articles de nos fidèles adhérents du Centre de Recherches.

Une première partie est dédiée au Patrimoine et à l'environnement, avec des articles, qui par leur originalité, intéresseront les lecteurs.

La partie «Histoires de famille et généalogie» fait mémoire de familles notoires, mais également de personnages qui ont laissé une trace dans notre secteur.

La troisième partie « Témoignages du XX^e siècle» relate des événements qui ont pour théâtre les campagnes et les villages qui nous entourent.

La dernière partie est consacrée à la vie du Centre de Recherches.

Ce cahier est fourni gratuitement à tous les membres du Centre de Recherches du Patrimoine de Rieumontagné.

On peut aussi l’obtenir auprès du CRPR au prix de 14€  frais de port 5,91€ en sus).

Vingt sept ans d'agriculture pratique au domaine des Faillades

Cet ouvrage est une réédition d'un ouvrage paru en 1898 de Gaston Cormouls-Houlès. Ce grand industriel du délainage a mis beaucoup de son énergie à mettre en valeur une ferme de 650 hectares sur des terres a priori ingrates pour l'agriculture, sur la commune d'Anglès.

Merci à son descendant Bruno Cormouls de nous avoir permis de pouvoir faire connaître à nos amis de la montagne tarnaise les initiatives de cet industriel volontaire. Il a en particulier été un des premiers à avoir essayé l'ensilage, près d'un siècle avant sa large utilisation.

C'est un témoignage sur l'agriculture de montagne dans notre région au XIX^e siècle, en particulier sur la zone métamorphique, au sud de la faille des Monts de Lacaune.

Publication en vente au CRPR au prix de 18€ (frais de port 7.52€ en sus)

Publication : Il y a cent ans RAZIGADE cessait de vivre

 

Lucien Alingrin a souhaité retracer l'histoire de la ferme de Rasigade dont il subsiste encore de nos jours quelques ruines. Rasigade était une ferme de la commune de Murasson (Aveyron) située entre Gipoul et la Borie des Trois Cabanes.

Publication en vente au CRPR au prix de 5€ (frais de port 3,20€ en sus)

Publication : Chroniques de Le Margnès (tome 1 et tome 2)

Adrien Pagès, né en 1905, a vécu toute son existence, en tant que paysan, dans la ferme familiale du Barthas située dans la commune de Le Margnès (Tam).

Il a assumé pendant plus de 40 ans la fonction de secrétaire de mairie. Le vécu lié à cette charge, 1'a incité à relater et analyser la désertification de cette zone rurale de moyenne montagne. Il en résulte un récit d'une lucidité et d'une pertinence remarquables. Adrien Pagès nous lègue un témoignage rare et précieux d'une vie rurale révolue. 

 

Publication spéciale réservée aux adhérents. Pour tout renseignement rieumontagne@ccmlhl.fr

Publication : La charcuterie des monts de Lacaune des débuts jusqu’à l’annualisation de l’activité à partir des années 1950

En 2008, le CRPR a publié un ouvrage sur nos charcutiers salaisonniers.

Ici, nous avons voulu exploiter un dossier du syndicat des charcutiers des années 1940 et 1950 pour mieux comprendre les débuts de cette activité démarrée en début de siècle avec comme moyen de transport, les véhicules à cheval. Une première révolution est intervenue dans les années 1920 avec l'arrivée des camions pour, à la fois, aller chercher des cochons de plus en plus loin et écouler la charcuterie au Pays bas. L'arrivée des frigos dans les années 1950 a assuré le passage d'une activité artisanale saisonnière à une activité à temps plein tout au long de l'année.

Dans ce recueil, a été fait mémoire de tous ces pionniers qui ont fait preuve d'une capacité entrepreneuriale incroyable. Nous nous sommes centrés sur la période avant 1960.

Publication en vente au CRPR au prix de 12€ (frais de port 5,82€ en sus)

Publication : Il était une fois Gijounet

 

La commune de Gijounet est située dans les Monts de Lacaune à 9 kilomètres au sud-ouest de Lacaune-les-Bains, par la route départementale 81. D'une superficie de 15,13 km² elle compte actuellement 125 habitants (il y en avait 850 en 1841). Hormis le village de Gijounet, la commune est constituée des hameaux d'Omac, Gijou, Calouze, Talpayrac et Malefayère, ainsi que d'une quinzaine d'anciennes métairies réparties dans toute la montagne. 

        D'une altitude moyenne de 550 m, son point culminant atteint 1 060 m. Elle fait partie du Parc naturel régional du Haut-Languedoc.

Ce site géographique fut habité dès l'époque néolithique, et a connu tous les grands mouvements de 1'histoire : occupations gauloise, romaine et sarrasine, féodalité, Guerre de Cent Ans, grandes épidémies, Réforme et Contre-réforme, Ancien Régime, ...

Siège d'une petite seigneurie, dont le château subsista jusqu'au début du XIX^e siècle, la commune à majorité paysanne, fut aussi le berceau de plusieurs familles bourgeoises (des marchands, des armuriers et des juristes) qui connurent une réelle prospérité, qu'elles développèrent dans plusieurs grandes villes françaises (Paris, Bordeaux et Marseille), ainsi que dans les îles de l'Océan Indien et des Antilles.

Le déclin de cette commune commença au milieu du XIX^e siècle avec le début de l'exode rural, accentué par les lourdes pertes de la Grande Guerre. Il n'en reste pas moins une histoire riche, que nous vous proposons de découvrir au fil de cet ouvrage, dans un parcours chronologique, combinant petite et grande histoire.

Publication en vente au CRPR au prix de 20€ (frais de port 3,20€ en sus)